Aujourd’hui c’est Emilie Yojenka qui nous propose le top ten des ses 10 albums préférés. En attendant de voir Emilie sur scène découvrez l’artiste en lisant ou en regardant l’interview qu’elle nous avait accordé en 2017 et le live vidéo en 2019.
«J’accuse»
de Damien Saez
Ma claque la plus violente. Musicale, émotionnelle, sociale, consciente. Le déclencheur de beaucoup de révoltes et d’engagements artistiques et réels.
«Pas fragile»
de Buridane
J’avais fait sa première partie au festival Chants d’Elles. Elle m’a envoûtée. Sa voix, son charme, ses textes, ses accords, son univers, et elle, en tant que personne, que j’ai eu la chance de connaître.
«Et pourquoi les crayons ?»
d’Amélie-les-crayons.
Une grande inspiration pour moi, et un album qui m’a relevée et redonné de la légèreté de vivre. Fraîcheur, bonne humeur, tendresse.
«Douze fois par an»
de Jeanne Cherhal.
Un album qui m’a mis le pied à l’étrier dans la recherche de mon style musical.
« La B.O. d’Amélie Poulain »
par Yann Tiersen.
Au delà du film, ces airs-là, cette ambiance m’ont accompagnée dans bien des voyages.
«69 battements par minute»
de Claire Diterzi.
Un ovni savoureux dans la chanson rock française. Une belle claque artistique, aussi !
«A mouthful»
de The Do.
Un autre genre d’ovni, franco-anglais, celui-là. Il y avait longtemps que je n’avais pas été musicalement surprise, ça faisait du bien.
«Mise à nu»
de Pauline Croze.
Je qualifierais cet album de caresse folk-pop. Comme la voix de Pauline Croze. Charme, efficacité, délicatesse, force et pudeur.
«New beginning»
de Tracy Chapman.
J’ai hésité avec l’album «Telling stories»… Mais les histoires qu’elle raconte dans celui-là me touchaient peut-être encore plus.
«La llorona»
de Lhasa.
Un album qui m’a portée, transportée, transpercée et accompagnée dans des moments de vie marquants, voire des moments marqueurs de vie.
