Pascale Labylle Poétesse reconnue depuis ses deux dernières parutions au éditions Lys bleu pour « Joie de vipères » et « Rêverie de vague à l’âme » par les éditions Sydney Laurent est née à Harfleur dans la très proche banlieue du Havre en 1968. Adepte de littérature elle poursuit une des études littéraires avec succès dans les institutions universitaire Françaises de Paris sept et Paris huit jusque obtention d’une licence en littérature, après une vie collégiale et lycéenne au Havre au sein du collège Jacques Monod et du lycée Claude Monet . Sa passion la conduit à la pratique de l’écriture à Paris , puis à Lyon et devient artisan de fiction en 2024. Elle a publié ses premiers ouvrages respectivement en deux milles deux « Deux images » paru pour la première fois au éditions du Printemps à l’occasion du printemps des poètes des Afriques et d’ailleurs aux côté de Thierry Sinda professeur émérite de la Sorbonne qui l’a homologué au titre de Poétesse.
S’en suivent après ce premier recueil resté un vrai succès « Génération » en Mars deux milles cinq, puis « Espérance » en Mars deux milles huit, Paix à colombe » en Mars deux milles dix et « Il y a que » en Mars deux milles douze. Elle fréquente depuis deux milles quinze assidûment le Printemps des poètes des Afriques et d’ailleurs avec Thierry Sinda qui ne cesse de la produire en scènes ouvertes lors de festivals culturels. Lauréate depuis deux milles vingt quatre de ce Printemps des poète elle s’apprête et relance sa carrière poétique avec Ancrage et coups de fuite prévu en prévision pour un prochain printemps.
Pascale après nombres de voyages en province où elle trouve toujours l’occasion de s’inspirer continue son itinéraire poétique grâce à l’inspiration que lui procure ses heures de contemplation. . Bipolaire engagée dans un parcours de soin où elle s’attache à défendre la cause des personnes vulnérables ,elle apprécie particulièrement les jardins et ne cesse d’y trouver sérénité et plénitude . Sa région lui tient à cœur en dehors de ses réguliers séjours à Paris, elle aime à se replier dans la campagne verte et touristique de la Normandie de la côte d’Albâtre au rivage des côte fleuries.
Nos peaux
Nos peaux
Dos à dos
Face à face
Nos peaux dans une glace
Nos peaux blanchies
Nos peaux jaunies
Nos peaux noircies
Nos peaux sous un manteau
Plus que nos peaux
Dans nos eaux
Sur nos os
Nos peaux dans un ressac
Nos peaux trouées
Nos peaux liftées
Nos peaux aimées
Nos peaux haïssent
Nos peaux rivés au sac
Nos peaux chaleurs
Nos peaux froideurs
Nos peaux dans l’eau
Nos peaux au cœur idiot
Nos peaux de glace
Et que la peur menace
Poétesse : Pascale Labylle
Révolution
Ils se sont rendu le coeur proche de la révolution
Poésie explosion
Coran explosif
Bible d’érudit
Doctrine des anthologies
Thora des paysages
Théologie de nos esprits qui chantent
En terre nouvelle
En union des forces
Main sur le torse
La danse dans la chair
Chair empruntée aux paroles du silence
Ils se sont rendu le cœur
Proche de la révolution
Les voies crachant le feu
Les mots en éruption
La lave de larmes aux cratères de leurs yeux
Dessine le chemin d’une coulée sur leurs joues
Les pores de leur peau ébène comme pluie de cendre
Embaume l’atmosphère turbulente des parois glacées de leurs flancs
La colère a parodié l’humour
Des amours du Mont Pelé
Les cris stridents des foules éberluées a rendu un coup de fouet au passé
Nègre au pâle blancs lacéré par habitude ont saigné vif tel le magma prisonnier du dôme.
Air ambiant déplacé de l’humanisme
Détonation bestiale de la douleur
Ils se sont rendu le cœur proche de la révolution
Ardeur café
Il danse toutes ses heures de oiveté
Il colle la tiédeur de sa peau café
Il saupoudre de chaleur par sa peau claire tannée
Il est fin prêt pour l’ardeur de ses ainés
Ses forces sont celles du cavalier
Saisit de courage il va au galop : donner
Le brin de sa chevelure le disait condamné
Fier de sa France, va l’air égayé
Ses poings ont la poigne des forcenés
La candeur des musiciens des jeunes années
Soutenant nobles causes des solidarités
Il a choisit la joie pour obtenir la santé
Il déclame fort sur des rythmes endiablés
Dans la trêve hivernale pause la crème au lait
Il combat pour le règne de sa dignité
Devant son café pose le petit pain grillé.
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