Nouvelliste occasionnel (anthologie Identités, fanzine canadien Horrifique…), plante verte télégénique (Taxi, Cordier juge & flic…), théâtreux local, dresseur d’autruches-sentinelles en Afrique de l’Ouest, animateur socioculturel pour nid de coucou, liquidateur aquoiboniste chez Pôle Emploi, Ludovic se cherche jusqu’à sa rencontre avec le romancier Richard Tabbi dont le premier roman, Zombie-planète, a été publié aux éditions Mango avec le soutien de Régine Deforges.
Ensemble, ils signent Moi et ce diable de Blues, polar hallucinatoire béni par Jean-Pierre Dionnet (himself !) puis cosignent les promesses de l’aube ou le roman de ma mère avec Sigolène Vinson et Jacques Olivier Bosco dans le cadre de l’Exquise Nouvelle.
En 2014, le groupe Blues Project donne un concert à l’occasion de la semaine Polar en Lumières créée par Mathieu Labrouche et parrainée, cette année-là, par Jean-Pierre Mocky & Richard Bohringer. Concert au cours duquel Richard Tabbi fait des lectures extraites de Moi & ce diable de blues.
Enfin, Ludovic préface Ulan Bator en 2015, délire science-fictionnel écrit par son frère d’encre Richard Tabbi et participe au Barfly, site-collectif d’auteurs, poètes et chroniqueurs (Serge Scotto, Alain Raimbault, Aline Kerneis, Patrick Jouanneau…)
Actuellement, il met la dernière main à son premier roman en solo, s’apprête à jouer dans dans le prochain court-métrage de Max Obione (Prix « Regard Caméra » lors de la 3e Nuit du Court-Métrage) et participe au prochain disque des Dead Drunk Machinery, combo fraîchement sorti de l’œuf, en tant qu’interprète et parolier…
