Habituellement vous pouvez rencontrer Antho lors de l’un des concerts de ses trois formations: Collin Thomas, Radio Stars et Queen Killers mais depuis le confinement et le déconfinement, vous pouvez le voir et surtout l’écouter lors de ses « Antho Apéro Covers ». Des tubes planétaires ou nationaux sont revisités durant lesquels le chanteur est accompagné de nombreux amis musiciens.
Le résultat est impressionnant !
C’est pour cela que nous avons voulu en savoir plus sur l’artiste, sa carrière et ses nombreux projets artistiques.
Bonjour Antho comment es-tu venu à la musique ?
Quelle a été ta première formation ?
Comment as-tu appris les techniques de chants ?
Comment a évolué ta carrière amateur avant de devenir professionnel ?
Quel est votre répertoire ?
Je t’ai découvert sur Facebook via ton autre projet, un hommage au groupe Queen, peux tu présenter cette formation ?
Oui, ça c’est le gros projet du moment. Le groupe s’appelle Queen Killers.
Il y a Matthieu Poupard à la batterie, Mathieu Nogues aux claviers, Thibault Hennart et Stéphane Coubray aux guitares, Julien Estève à la basse, et je suis au chant. D’ailleurs, quasiment tout le monde chante pour reproduire les chœurs de Queen.
Nous avons aussi nos propres techniciens, Rollon Barbet à la lumière et Déborah Dupont au son. Je suis amoureux de Queen depuis 30 ans et l’occasion s’est présentée de reformer un cover Queen. Nous n’avons pas hésité, Stéphane et moi. Nous avons invité quelques amis musiciens, avons travaillé pendant près d’un an pour monter un répertoire de 2 heures, avec la réalisation de tous les arrangements chœurs, ceci est la marque de fabrique de Queen.
Et aujourd’hui, nous sommes prêts.
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As-tu des morceaux que tu aimes particulièrement ?
Quelles sont les difficultés de ce répertoire ?
Quels sont vos futurs événements ?
Comment occupais-tu tes journées pendant le confinement ?
Comment procèdes-tu pour la réalisation d’une vidéo avec plusieurs artistes confinés chacun de leur côté ?
Entretien réalisé par Grégory Constantin Mai 2020
Contribution à la rédaction Fabrice Autret